Communiqués

Lettre ouverte à Monsieur le Premier Ministre, François Bayrou

Nous, membres du Pacte progressiste Fin de vie, réagissons à l’annonce du projet de scission du texte législatif qui reviendrait à porter devant le Parlement non pas une mais deux propositions : une portant sur les soins palliatifs et l’autre sur l’aide à mourir..
Jusqu’alors, le sujet d’évolution de la loi fin de vie, porté par le Président de la République, après une Convention citoyenne organisée par le CESE, après un long temps de réflexion, était pensé comme englobant les soins palliatifs et l’aide à mourir. Les ministres Agnès Firmin Le Bodo, puis Catherine Vautrin ont chacune porté et défendu ce projet de loi global sur la fin de vie visant à remeflre le patient au centre des décisions, d’optimiser l’articulation entre soins curatifs et palliatifs, et de permeflre, dans des conditions strictement encadrées, d’avoir accès à l’aide à mourir. A son tour, l’ancien Premier Ministre
M. Michel Barnier s’apprêtait également à porter devant l’Assemblée un projet de loi complet début février.

Appel à dons exceptionnels

Notre combat pour la rationalité nous mène à intervenir dans un nombre croissant de débats qui traversent la société : crise climatique et écologique, choix énergétiques, relation science-armement, égalité et mixité scolaire, immigration et institutions garantes des valeurs de la République…
Nous le faisons en intervenant dans nos médias grâce à votre aide financière, celle de vos cotisations mais aussi celle des dons annuels ou exceptionnels (tous les 4 ou 5 ans).
Sans vous, sans votre confiance, vos encouragements, votre mobilisation, votre soutien, nous n’aurions pas le même impact.
L’Union Rationaliste a besoin à nouveau, en cette fin d’année fiscale, d’un soutien exceptionnel qui nous permettrait de faciliter notre combat en intensifiant la diffusion de nos idées. C’est vous, les donateurs individuels, qui assurez notre liberté et notre efficacité d’action.

Communiqué du collectif pour l’école publique laïque

Depuis un an des enquêtes journalistiques ont illustré la gabegie financière, parfois au-delà des obligations légales, liée au financement public des établissements privés sous contrat. A l’heure des débats budgétaires, alors qu’il est établi que ces établissements participent à la ségrégation sociale et scolaire de la jeunesse, aucun gouvernement ne peut échapper à l’impérieuse nécessité, pour le pays de réorienter, les fonds publics vers l’école publique laïque.
Dans leur cadre unitaire inédit depuis 30 ans, les organisations signataires de la tribune parue dans “Le Monde” du 30 janvier 2024, pour que l’école publique, laïque, gratuite et obligatoire soit la priorité du pays, travaillent à la construction d’un plan de sortie du financement public de l’école privée…